C'est avec une profonde tristesse que nous apprenons la disparition du président de la SAHM. Nous nous associons au deuil d'une association amie et avons adressé nos condoléances à la famille.
Le coordinateur de la MHEM
C'est avec une profonde tristesse que nous apprenons la disparition du président de la SAHM. Nous nous associons au deuil d'une association amie et avons adressé nos condoléances à la famille.
Le coordinateur de la MHEM
Deux directrices de l'Ecole normale d'institutrices de Coutances, Denyse Weiller (1960-1962) et Francine Best (1962-1969) ont l'honneur du Bulletin de l'Association des élèves et anciens élèves des ENS de Lyon, Fontenay-aux-Roses et Saint-Cloud.
Denyse Weiller, p. 22-32 et Francine Best (p. 64-65).
Denyse Weiller a laissé des notes relatives à son passage à Coutances. Elles seront prochainement intégralement publiées sur ce site.
Lien vers la page de téléchargement du numéro 2024-2 du Bulletin https://alumni.ens-lyon.fr/fr/page/bulletin-2024-2-decembre-2024
Programme des deux journées du colloque “Adolescences romanesques, autour de la génération des Six compagnons”. Les membres et amis de l’APJB, noteront la participation active de l’association notamment à la table ronde consarée à la valorisation de l’important fonds de littérature jeunesse, don de Marina Chauvet, actuellement hébergé par la MHEM. Nous comptons sur une participation soutenue.
C'est avec plaisir que nous relayons l'information communiquée par le président de la Société nationale académique de Cherbourg.
Séance publique
de la Société Nationale Académique de Cherbourg
fondée en 1755
© Claudine Guéniot
Le Rivage des Syrtes de Julien Gracq,
le roman du déclin de l’Occident ?
Conférence de M. Arnaud Coignet
Salle Paul-Éluard, Le Quasar
Rue Vastel, Cherbourg-en-Cotentin
Mercredi 9 octobre 2024, 17h45
Qui osera jurer de la neutralité à l'égard du genre à l'école? Nous sommes dans la douzième semaine de grammaire au cours moyen dans un manuel scolaire de 1951. Grammaire, conjugaison, orthographe par A. Berthou, S. Gremeaux et G. Voegelé, publié par les éditions Eugène Belin, p. 94.
Le dessin particulièrement est éloquant. Même le chien s'en mêle ! Et de quel côté ? Bien entendu, nous objectera-t-on, il s'agit d'illustrer une règle de grammaire attestée par l'Académie française depuis si longtemps. N'est-elle qu'une règle de grammaire ?
La règle de primauté du masculin est une convention linguistique qui s'impose dans le langage courant à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle. Comme toute convention, elle peut évoluier, changer voire s'orienter différemment... L'accord est loin d'être établi comme l'indique cet article du Monde ou celui de Slate.fr
En attendant, en cette période de rentrée scolaire prenons le temps d'étudier cette 12e leçon de grammaire de 1951.
Pas de trêve estivale pour la MHEM qui prépare sa rentrée. Aux collections déjà saisies et en ligne s'ajoutent régulièrement de nouveaux dons comme ceux sur ce cliché provenant des fonds Bergeret. Belle collection de cahiers scolaires de Fernande Roulet de l'école de Regnéville-sur-Mer avec au moins trois intitutrices différentes. Très belle collection, cohérente et continue sur la période de l'école élémentaire allant de 1927 à 1934, complétée par quelques cahiers plus spécialisés de techniques comptables provenant de l'école Sainte-Geneviève de Saint-Lô après 1934.
Le cliché est pris avec le nouveau rollup de conception récente, réalisé par Arthur Valton, designer à Rennes. Ce rollup constitue désormais l'identité visuelle de la MHEM.
Il est des livres qui, une fois ouverts, vous tiennent jusqu’au
bout, jusqu’à la dernière ligne, jusqu’à l’ultime mot.
Le dernier ouvrage d’Yves Corver, Le Tunnel, Saint-Lô, juin
1944, est de ceux-là. Mêlant fiction et réalité historique, le roman - car c’en est un – met
en scène deux familles saint-loises emportées par les événements de la
Libération de Saint-Lô. Extrêmement bien documenté, l’intrigue, construite autour de deux jeunes, tous les
deux en terminale, l’une au Bon-Sauveur, l’autre au collège municipal de
Saint-Lô, Jacqueline Morel et René Mesnil et leurs familles respectives,
attrape le lecteur pour ne plus le lâcher, l’entraînant dans les moments de
peur et d’angoisse mais aussi d’espoir qui sont en fait leur quotidien.
Le titre : Le Tunnel, est judicieux tant au propre qu’au
figuré pour les protagonistes. Fiction, assurément, qui, cependant, par le
choix du mode de construction sous forme de journal, d’avril à octobre 1944,
confine à la réalité. Avec la précision méticuleuse du géographe et de l’historien,
l’auteur permet au lecteur de déambuler dans le Saint-Lô d’avant sa destruction
sous les bombes des libérateurs. Au moyen du QR code situé en fin d’ouvrage, le
lecteur pourra accéder à des plans lui permettant de suivre les pérégrinations
du principal personnage.
Ce roman d’Yves Corver est une réussite qu’on ne saurait trop
recommander en ce 80e anniversaire de la Libération. Ouvrez-le et,
emporté par les événements, vous ne le lâcherez plus que vous n’en ayez
atteint le point final.
Yves Marion
28 juillet 2024
Jean-Claude Bisson, l'un des administrateurs de la Maison de l'histoire de l'école dans la Manche, (MHEM), a les honneurs de la presse. Pour son activité constante au service au service de l'éducation de la jeunesse pour le rayonnement de l'école de la République, il a été promu au grade d'officier dans l'ordre des Palmes académiques par le ministre de l'Education nationale. Le diplôme lui a été remis par le représentant local du ministre, M. Stéphane Vautier, DASEN du département de la Manche.
Au nom de l'ensemble des membres de la MHEM et du conseil d'administration, nous lui adressons nos plus vives et sincères félicitations pour cette distinction amplement méritée.
Ouest-France, édition Granville-Avranches, 12 juin 2024
Les
propositions de communication (400 mots maximum, 5 mots-clés et une brève
biobibliographie) sont à adresser pour le 20 juin 2024, délai de rigueur, aux
trois adresses suivantes :
christiane.connan-pintado@orange.fr
stephanie.lemarchand@unicaen.fr
APPEL
À COMMUNICATIONS
Colloque
INSPE-Normandie Caen, 20-21 novembre 2024
Adolescences
romanesques
La
génération des Six Compagnons (1960-1980)
Christiane
Connan-Pintado, Stéphanie Lemarchand, Anne Schneider
[I]l n’est pas possible d’écrire pour
la jeunesse,
si,
en même temps, on ne s’efforce pas
d’écrire sur la jeunesse.
Georges G.-Toudouze[1]
À
mi-chemin de la guerre et du nouveau millénaire, dans le contexte politique,
social et économique favorable des « Trente Glorieuses », l’édition
pour la jeunesse connaît en France un essor remarquable (Piquard, 2004). Tel
est l’empan temporel que nous proposons de cerner afin d’observer les romans
publiés en France pour et sur l’adolescence au cours des années 1960-1980. L’expansion
de cette littérature a été amorcée au cours de la décennie précédente : l’importation
de séries américaines et britanniques à succès et le développement des
différentes collections de G. P. (pour Général Publicité, maison d’édition pour
la jeunesse essentielle des années 1940-1980) et de Hachette ont modifié
sensiblement le paysage éditorial, les éditeurs invitant leurs auteurs à
proposer des fictions de leur cru. Sans doute Les Six Compagnons de
Paul-Jacques Bonzon représentent-ils le paradigme de cette tendance, avec 38
volumes parus de 1961 à 1978 – auxquels a été consacré un ouvrage récent
(Quet et Mercier-Faivre, 2022). Toutefois, les auteurs et autrices publiant
pendant cette période ne se bornent pas aux aventures hexagonales et ouvrent
largement l’horizon de leurs personnages : on pense, par exemple, aux
romans « africains » de René Guillot, aux voyages maritimes des Cinq
jeunes filles de Georges Gustave-Toudouze, aux îles plus ou moins exotiques
où évoluent les jeunes héroïnes de Saint-Marcoux, aux romans non sériels de
Bonzon qui explorent différents pays et continents (Cahiers Robinson, n°
48, 2020). Quel que soit leur chronotope, ces romans ont en commun de
s’attacher à des figures adolescentes propres à captiver le jeune lectorat pendant
une période à laquelle l’histoire culturelle a accordé toute son attention,
comme le montrent les travaux d’Anne-Marie Sohn (2003, 2001) et de
Jean-François Sirinelli (2003, 2001).
Nous
nous centrons donc sur une période précise, sur le genre littéraire du roman
pour la jeunesse et sur les représentations qu’il offre de l’adolescence à
laquelle il s’adresse. Alors que cette époque n’est pas si lointaine, elle
paraît aujourd’hui complètement révolue, tant les temps ont changé. Pour
démarquer le titre de l’album Yvan Pommaux, Avant la télé (L’École des
loisirs, 2002), c’était avant les ordinateurs, les téléphones portables et les
réseaux sociaux, en somme, dans un autre monde. Quelle que soit la distance qui
nous sépare d’elle, on considèrera la littérature de cette époque dans son
contexte sans verser dans l’anachronisme. Plusieurs études se sont déjà penchées
sur ses auteurs : au-delà des deux publications dévolues aux œuvres de
Paul-Jacques Bonzon – sans avoir épuisé le sujet pour autant – différents
articles et chapitres d’ouvrages (voir la bibliographie ci-dessous)
s’attachent, pour ne citer que quelques noms, aux romans de Paul Berna, Myonne,
Claude Campagne, Yvonne Meynier, Paluel-Marmont, Marguerite Thiebold et de bien
d’autres de ces écrivains pour la jeunesse recensés par Claude Bron (1972) et
Nic Diament (1993). Sans doute cette
littérature ne risquait-elle pas d’inspirer aux adultes médiateurs les
inquiétudes que suscitent certaines œuvres contemporaines pour la jeunesse
(Rolland, 2008), tant elle semble se conformer aux canons d’un champ éditorial
qui vise à divertir et à instruire sans attenter à l’ordre social ni aux
convenances. Il faudra toutefois interroger les contours de l’adolescence
qu’elle propose, entre conformité aux normes en vigueur et prémices d’une
émancipation, voire d’une subversion. Dans ce cadre, on emploie l’adjectif « romanesque »
dans son double sens pour qualifier à la fois « un certain type de texte
mais aussi un certain état d’esprit » (Besson et Marcoin, 2020).
Parmi les axes de
réflexion envisageables pour tenter de cerner la singularité des adolescences
des années 1960-1980, on pourra s’intéresser, sans exclusive, aux suggestions
suivantes. Sera particulièrement appréciée toute
proposition qui souhaiterait poursuivre et enrichir l’étude des œuvres de
Paul-Jacques Bonzon.
-
La diversité des genres et sous-genres
romanesques explorés et la manière dont ils permettent de configurer les
figures adolescentes. Une comparaison avec la production romanesque venue
d’ailleurs ou contemporaine pourra être envisageable.
-
La répartition genrée des figures
adolescentes et les formes d’une héroïsation du féminin.
-
La réception de ces romans, passée, «
après coup » (Louichon, 2009) ou actuelle, privée ou scolaire – quelques noms
d’auteurs de nos corpus, comme Paul Berna et Colette Vivier, ont été retenus sur
les listes du ministère de l’Éducation nationale – ainsi que leur présence dans
la création transmédiale.
-
La traduction des romans lorsqu’ils ont été
diffusés au-delà de nos frontières comme le montre Yves Marion pour ceux de
Paul-Jacques Bonzon (Marion, 2008 : p. 248-250).
-
La fabrication de ces romans pourrait être
mise au jour à partir des fonds de l’IMEC pour enquêter, comme l’avait fait
Yves Marion à propos de Paul-Jacques Bonzon (2008), sur la génétique des
textes, le travail des romanciers pour la jeunesse et leurs relations avec les
éditeurs, tous paramètres permettant de cerner la construction des figures
adolescentes. Pour une recherche sur P.-J. Bonzon, on peut s’appuyer sur les
fonds réunis par l’Association des amis de Paul-Jacques Bonzon
(https://www.amis-pauljacquesbonzon.com/apjb/)
Bibliographie
Anne
Besson et Francis Marcoin, « Littérature de jeunesse et romanesque. Lieu
d’élection, paradis perdu ou dernier refuge ? », dans Romanesques,
n° 12, « Littérature de jeunesse et romanesque », 2020, p. 53-66.
Adrienne Boutang, « L’adolescence
est-elle soluble dans l’enfance ? Définitions et délimitations du public
en littérature et culture de la jeunesse », Transatlantica [En
ligne], 2 | 2019, mis en ligne le 01 août 2020, consulté
le 22 janvier 2024. URL :
http://journals.openedition.org.docelec.u-bordeaux.fr/transatlantica/14527 ; DOI :
https://doi-org.docelec.u-bordeaux.fr/10.4000/transatlantica.14527
Claude
Bron, Romanciers
choisis pour l'enfance et l'adolescence : auteurs contemporains de
langue française,
Paris, Hatier-Rageot, 1972.
Christiane
Connan-Pintado, « Aventures aux Baléares. Quand le roman pour la jeunesse
rêve d’aventures en Méditerranée », dans Méditerranée inter/transculturelle. L’Autre, le lieu autre, la langue
de l’autre, dans Carlota Vicens Pujol et
al. (dir.), Presses de
l’Université des Îles Baléares, 2018, p. 167-181.
Françoise
Demougin, « Paul Berna et Saint-Marcoux, un homme et une femme au cœur de
la collection Rouge et Or », dans Christiane Connan-Pintado et Gilles
Béhotéguy (dir.), Être une fille, un garçon dans la littérature pour la
jeunesse (1945-2012), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux,
« Études sur le livre de jeunesse », 2014, p. 69-82.
-
« Paul
Berna ou la petite fabrique de l’auteur pour le lecteur », dans
Jean-François Massol et François Quet (dir.), L’auteur pour la jeunesse, de
l’édition à l’école, Lyon, ENS de Lyon/ELLUG, 2011, p. 59-74.
-
« La
figure paternelle chez Paul Berna, un imaginaire prométhéen », dans Cahiers
Robinson, n° 22, 2007, p. 95-104.
Laurent
Déom, L’imaginaire en œuvre. Romans scouts et expérience littéraire,
Bruxelles, Peter Lang, « Recherches comparatives sur les livres et le
multimédia en France », 2014, 413 p.
Nic
Diament, Dictionnaire des écrivains français pour la jeunesse (1914-1991),
Paris, L’École des loisirs, 1993, 784 p.
Danièle
Henky, « Redevenir enfant ou la quête paradoxale du paradis perdu en
littérature de jeunesse », dans Isabelle Cani et al., Devenir adulte et
rester enfant ? Relire les productions pour la jeunesse,
Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise Pascal,
« Littératures », 2008, p. 213-226.
Brigitte
Louichon, La littérature après coup, Rennes, Presses universitaires de
Rennes, « Paideia », 2009.
Francis
Marcoin, « Courage et ménage : les enfants de la Libération »,
dans Christiane Connan-Pintado et Gilles Béhotéguy (dir.), Être une fille,
un garçon dans la littérature pour la jeunesse (1945-2012), Pessac, Presses
universitaires de Bordeaux, « Études sur le livre de jeunesse »,
2014, p. 135-148.
Yves
Marion, De la Manche à la Drôme : itinéraire de l’écrivain Paul-Jacques
Bonzon, instituteur et romancier pour la jeunesse, Marigny, Éditions
Eurocibles, 2008.
Anne-Marie
Mercier-Faivre, « "Grandes vacances" en séries ; le Club
des cinq et les Six Compagnons, vacanciers-détectives », Cahiers
Robinson n° 53, 2023, p. 75-92.
Michèle Piquard, L’édition pour
la jeunesse en France de 1945 à 1980, Paris, Presses de l’Enssib, 2004, 391
p.
Christine
Prevost, « Les Habits du fantôme et Le Colosse machinal, Michel
Chaillou lecteur-auteur pour la jeunesse », Roman 20-50 : Revue d'étude
du roman du XXe siècle, 2023, p.51-64.
Christine
Prevost, Des livres « sains » pour divertir la jeunesse des années 60 : les
récits de l’instituteur normand Paul-Jacques Bonzon, 50ème congrès des
Sociétés Historiques et Archéologiques de Normandie : "Éduquer et
instruire en Normandie", oct 2015, Saint-Lô, France. p. 193-201.
François
Quet et Anne-Marie Mercier-Faivre (dir.), Des Compagnons de la Croix-Rousse
aux Six compagnons. Une série policière pour la jeunesse (1961-1978),
Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, « Études sur le livre de
jeunesse », 2022, 324 p.
Annie Rolland, Qui
a peur de la littérature ado ?, 2008, Paris, Éditions Thierry Magnier,
240 p.
Jean-François
Sirinelli, « Des « copains » aux « camarades » ?
Les baby-boomers français dans les années 1960 », Revue historique,
vol. 626, no. 2, 2003, pp. 327-343. https://doi-org.docelec.u-bordeaux.fr/10.3917/rhis.032.0327
-
« La France des sixties
revisitée », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, vol. no 69,
no. 1, 2001, pp. 111-124. URL : https://www-cairn-info.docelec.u-bordeaux.fr/revue-vingtieme-siecle-revue-d-histoire-2001-1-page-111.htm
Christine Sauvajol Buferne, Comité de lecture de l’Association de
recherche et de pratique sur le livre pour enfants, « De la collection
« Plein Vent » à Nos étoiles contraires, quarante ans de
littérature pour les adolescents », Enfances & Psy, vol.
82, no. 2, 2019, pp. 69-75.
https://doi-org.docelec.u-bordeaux.fr/10.3917/ep.082.0069
Bénédicte
Shawky-Milcent et al. (dir.), Autobiographies de chercheur.se.s,
lecteur.ice.s, scripteur.ice.s, Les Presses de l’Écureuil, 2020.
Anne-Marie
Sohn, « Les “relations filles-garçons” : du chaperonnage à la mixité
(1870-1970) », Travail, genre et sociétés, 2003/1 (N° 9), p.
91-109. DOI : 10.3917/tgs.009.0091. URL : https://www-cairn-info.docelec.u-bordeaux.fr/revue-travail-genre-et-societes-2003-1-page-91.htm
-
Âge tendre et tête de bois.
Histoire des jeunes des années 1960,
Paris, Hachette Littératures, 2001, 431 p.
Guillemette
Tison, « Le romanesque du quotidien. L’exemple de Colette Vivier »,
dans Romanesques, n° 12, « Littérature de jeunesse et
romanesque », 2020, p. 83-96.
Joëlle
Turin, « La littérature de jeunesse et les adolescents : évolution et
tendances », Bulletin des bibliothèques de France (BBF), 2003,
n° 3, p. 43-50. En ligne : https://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2003-03-0043-006 ISSN 1292-8399.
Patrick
Tourchon et Leniiw Roman, La créativité à vif de Georges Bayard, Paris,
L’Harmattan, « Espaces littéraires », 2021.
Cahiers
Robinson, « À
l’ombre des séries, des œuvres singulières », sous la dir. de Christine
Prévost et Aurélie Gille Comte-Sponville, n° 48, 2020.
Cahiers
Robinson,
« La bibliothèque Rouge & Or », sous la dir. de Michel Manson,
Francis Marcoin et Guillemette Tison, n° 21, 2007.
Pour participer
Les
propositions de communication (400 mots maximum, 5 mots-clés et une brève
biobibliographie) sont à adresser pour le 20 juin 2024, délai de rigueur, aux
trois adresses suivantes :
christiane.connan-pintado@orange.fr
stephanie.lemarchand@unicaen.fr
Dans la mesure du
possible, le colloque prendra en charge le déplacement et l’accueil des
intervenants selon des modalités qui seront précisées ultérieurement.
Calendrier
Appel
à communications : 20 février 2024
Date
limite d’envoi des propositions de communication : 20 juin 2024
Réponse
du comité scientifique : 15 juillet 2024
Date
du colloque : 20-21 novembre 2024
Comité d’organisation
Anne
Schneider, Stéphanie Lemarchand, Nathalie Lebreuilly, Marlène Fraterno, Yves
Marion, Michèle Guglielmi, Christiane Connan-Pintado.
Comité scientifique
Christiane
Connan-Pintado, université de Bordeaux-INSPE, Plurielles (UR 24142), université
Bordeaux Montaigne
Laurent
Déom, université de Lille, Alithila (UR 1061)
Aurélie
Gille Lecomte-Sponville, université
d’Artois, « Textes et culture » (UR 4028)
Danièle
Henky, université de Strasbourg, « Configurations littéraires » (UR
1337), LETHICA ; « Écritures » (UR 3943), université de Lorraine
Esther
Laso y Leon, université d'Alcalá, Lijel-UAM, Anling-UAH
Stéphanie
Lemarchand, université de Caen Normandie-INSPE, LASLAR (UR 4256)
Francis
Marcoin, université d’Artois, « Textes et culture » (UR 4028)
Marion
Mas, INSPE-université Lyon1, IHRIM (UR 5317)
Nicolas
Rouvière, université Grenoble-Alpes,
Litt&Arts-CNRS (UR 5316)
Anne
Schneider, université de Caen Normandie-INSPE, LASLAR
(UR 4256)
[1] Georges G.-Toudouze,
« Préface » de Jean de Trigon, Histoire de la littérature
enfantine de Ma Mère L’Oye au Roi Babar, Paris, Hachette, 1950, p. XI.
Durant les commémrations du 80e D-Day, la Maison de l'histoire de l'école (MHEM) est ouverte au public.
Une permanence est assurée tous les jours jusqu'au 9 juin par Michel Madec. Les visiteurs, nombreux, trouveront des collections de manuels et objets du patrimoine scolaire. Leur seront expliqués les objectifs de notre conservatoir de patriloine scolaire : recueillir, préserver, sauvegarder, diffuser, exposer.
Ils observeront avec attention la vitrine consacrée à l'école durant l'Occupation. Ils pourront s'ils le souhaitent s'exercer à l'écriture à la plume comme l'ont fait hier, 4 juin, certains visiteurs qui ont accepter de poser pour le photographe. Nous les en remercions très chaleureusement.
Visiteurs, en ces jours particuliers de commémoration à Carentan-les-Marais, venez nombreux. N'hésitez pas à franchir le seuil de la MHEM. Vous y serez bien reçus.
Soutenez l'entreprise.
La Maison de l'histoire de l'école dans la Manche (MHEM) a décidé de contribuer aux manifestations du 80e anniversaire de la Libération.
Pour ce faire, la vitrine d'exposition donnant sur la rue du Château à Carentan-les-Marais est consacrée à "L'école durant l'occupation". Elle sera maintenue durant tout l'été. En outre, durant la semaine du 6 juin, le local sera exceptionnellement ouvert au public tous les jours.
© Yves Marion, 4 juin 2024
Une directrice, dans les années 1960, venant d'être nommée, découvrant l'école normale d'institutrices de Coutances, Avenue de la République, autrement dit, route de Saint-Lô, n'a pu s'empêcher de comparer le site à une sorte de cloître.
Une carte postale aérienne récemment entrée dans ma collection ne saurait la détromper.
Ce matin même, 20 mètres linéaires de rayonnages supplémentaires ont été installés dans le local de la MHEM, rue du Château à Carentan.
Dès potron-minet, nos amis Daniel et Evelyne Hélye qui avait déjà réalisé et installé les précédents rayonnages arrivait avec de nouveaux fraichement réalisés.
Dans la foulée, avec Denis Obitz, les rayonnages étaient transportés et installés dans la pièce du fond, augmentant considérablement les possibilités de rangement et de classement de nos ressources patrimoniales. Elles ne cessent en effet d'augmenter à mesure des nombreux dons qui nous parviennent.
Installation des rayonnages par Denis et Daniel. © Yves Marion, 23 mai 2024
Pour le moment en retructuration, et donc momentanément fermée, la Maison de l'histoire de l'école dans la Manche, MHEM, conservatoire de patrimoine scolaire, devrait pouvoir ouvrir à nouveau ses portes très prochainement et montrer ses collections.
Volontaires, habitants Carentan-les-Marais et ailleurs, qui souhaiteraient participer à cette belle aventure, manifestez-vous sans attendre auprès de Denis Obitz : 07 60 90 22 96.
S’il est un domaine peu investi par
la recherche, c’est bien celui de l’histoire de l’École et de ses institutions.
Parler de l’inspection académique, c’est, d’une certaine façon, interroger
cette histoire et ses déclinaisons locales. Seront abordés les principes qui
ont présidé à la création de cette institution et son évolution à travers les
époques. Seront également interrogées les pérégrinations de son hébergement et
on s’intéressera aux femmes et aux hommes qui ont occupé cette fonction.
Finalement c’est de tenter d’éclairer une institution départementale plutôt mal
connue que se propose cette communication.
La présidente de la section de
Saint-Lô de la Société d’archéologie et d’histoire de la Manche et
l’équipe de la MHEM, ont le plaisir de vous y inviter. Ils vous sont en
outre reconnaissants de bien vouloir relayer cette invitation auprès de vos
relations et collaborateurs.
Conférence organisée par la section
saint-loise de la SAHM
Histoire de l’inspection académique
de la Manche et de quelques-uns de ses titulaires
Chantal Procureur, Yves Marion
Jeudi 16 mai 2024, 18 heures
Saint-Lô, auditorium des Archives
départementales
103 Rue Maréchal Juin. Saint-Lô.